Clinique Vétérinaire de la Voie Verte ^🇫🇷

malheureusement il faut mettre une étoile pour rédiger un avis. J'ai voulu tester un autre vétérinaire mais celui ci il est pire que les autres. Site internet pour les rdv caduque avec une secrétaire aimable comme une porte de prison incapable de caser une animal qui avait besoin d'être ausculté. bref une machine à fric et surtout à éviter. simplement je rajoute , je suis parti de moi même et voir le témoin

Très bonne clinique, personnel sympathique et compétent. Mon chat a été diagnostiqué diabétique, très bonne prise en charge, très bons conseils. Merci à tous.

J'ai 49 ans et j'ai toujours eu des chats. Ceux-ci ont toujours fait partie de ma famille et de ma vie. Je suis aussi infirmière et j'ai trouvé triste et humiliant de me rendre compte qu'il ne nous appartient pas de choisir le moment de partir pour nos compagnons de vie, alors qu'ils ont toujours été là pour nous. J'ai déjà eu un chat décédé à 20 ans passé. Pour autant, lorsqu'un de mes chats, de 13 ans, a été trop souvent mal, j'ai pensé que c'était le bon moment de partir pour lui. A travers mes expériences, avec mes proches (humains et animaux), ou à l'hôpital, j'ai compris qu'il ne faut pas attendre le pire moment pour se dire au revoir (trop de douleur, trop d'inconfort...). Mon chat n'arrivait plus à se laver, avait du sang dans les selles, était constipé souvent, vomissait presque chaque jour, se cachait en permanence et se faisait battre par l'autre chat qui le blessait. Alors oui, on a changé plusieurs fois son alimentation, oui il a eu des prises de sang et des radios et oui c'est juste normal de s'occuper de son chat. Mais qui doit décider qu'il n'est pas assez mal ? Ou plus souvent assez bien ? Le vétérinaire qui le voit à un instant T ? Ou ses proches qui vivent avec lui au quotidien ? Voilà, je me suis sentie jugé. J'en suis très affectée. Les autres vétérinaires vues au même endroit avaient été très biens précédemment. Mais là, le soi disantbien-être animal est passé en second plan, après l'apport financier : Après avoir rasé un caton que je n'arrivais pas à retirer en nettoyant, le vétérinaire a découvert une plaie et a conclu rapidement qu'il fallait le mettre sous antibiotiques. Si le bien-être de mon chat avait été sa priorité, il m'aurait au moins jeté à la figure une ordonnance d'antibiotiques en partant, mais non. Pas d'euthanasie mais pas de soin non plus. Ce n'était pas un patient animal mais un client animal... A l'image de notre société ?